Newletter #2

Deux visions
s'affrontent

Saint-Tropez – Une vision,
un cap, fidèle à notre héritage.

Chères Tropéziennes, chers Tropéziens,

Deux visions de Saint-Tropez s’affrontent

 Il y a quelques semaines,
j’ai présenté dans Var-Matin ma vision pour Saint-Tropez.

Le 13 octobre 2025, la maire sortante s’exprime à son tour.

Et la différence est nette :

elle veut finir le job, moi je veux refaire le lien et ouvrir un nouveau cycle.

1. Le logement : des rénovations comptées, pas une politique

Elle parle de 200 logements, mais ce sont pour l’essentiel des rénovations ou des logements privés pour saisonniers.

Aucun projet dimensionnant et structurant pour les familles, les actifs, les jeunes Tropéziens.

Ce n’est pas une politique du logement, c’est un inventaire.

Moi, je veux aller plus loin et plus vite.

Je ne couperai pas ce cycle, je l’accentuerai, mais en le transformant :

• création d’un Office Foncier Solidaire municipal,
• mise en place de BRS communaux pour les résidents,
• régulation des meublés touristiques,
• et surtout, des mandats de gestion locative annuelle, confiés à la mairie, pour relouer les logements existants à nos actifs, nos jeunes, nos enseignants, nos policiers, nos personnels de santé.

Mon objectif n’est pas d’additionner des chiffres, mais de recréer du lien entre les habitants, et de respecter ceux qui font vivre la ville toute l’année.

2. Sécurité et circulation : aucune vision globale

Elle évoque la nécessité de “revoir la circulation”.

Mais aucun calendrier, aucune planification.

  •  Je proposerai un plan de mobilité global, construit avec les habitants : circulation, stationnement résidentiel, piétonisation partielle et renforcement de la police municipale sur le terrain. Saint-Tropez doit redevenir vivable et fluide, pas seulement gérée au jour le jour.

3. Urbanisme et méthode : une mairie qui se défend au lieu d’agir

Elle se défend avant même d’être attaquée : Pilon, port, ABF…

Elle passe son temps à justifier, pas à proposer.

  • Ma méthode, c’est la transparence et la concertation citoyenne.
  • Chaque grand projet doit être discuté, compris et partagé. 
  • Saint-Tropez doit parler, pas être administrée à huis clos.

4. Le souffle politique : la gestion sans vision

“Je veux être élue pour finir le job.”

C’est une phrase de fin de mandat, pas de nouveau départ.

  • Elle gère le présent. Moi, je construis l’avenir. Le pilotage d’une ville, c’est tracer un cap, pas cocher des dossiers.
  • Moi, je veux bâtir Saint-Tropez 2040 — avec des décisions fortes dès 2026. Parce qu’après, il sera trop tard. 

Le rôle d’un maire, ce n’est pas d’entretenir la routine, c’est de tracer un cap.

Conclusion : le choix du cap

Saint-Tropez n’a pas besoin d’un mandat de continuité,

elle a besoin d’un mandat de reconquête humaine et territoriale.

Mon engagement est simple : respecter les Tropéziens, recréer le lien, et garantir à chacun une place dans sa propre ville.

Pas en discours, mais en actes.

C’est ça, le nouvel espoir pour Saint-Tropez.

Jean-Baptiste GIORDANA

Municipales 2026 – Saint-Tropez

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